Le 32ᵉ cours PBF a eu lieu entre décembre 2 et 14, 2013 à Mombasa, Kenya.
Ici le rapport du cours (course report)
Les 25 participants de Mombasa ont fait l’examen final et cinq d’entre eux ont obtenu des distinctions. Les participants étaient en provenance du Nigeria (7), le Zimbabwe (4), la Tanzanie (3), le Malawi (4), le Rwanda (3), la RDC (1), le Soudan du Sud (1), l’Éthiopie (1) et l’Allemagne (1x).
L’un des participants a proposé que nous devrions introduire plus fortement le fait que pour l’Accès aux Soins Universels, le PBF peut jouer un rôle important. Il a estimé que la Banque Mondiale devrait prendre cette place et a suggéré que SINA Health pourrait présenter un document de position à l’Assemblée Mondiale de la Santé de l’OMS comme une nouvelle déclaration de type Alma Ata. Ceux-ci aident les États membres sur la piste vers le PBF.
Les groupes de la Tanzanie, le Malawi et le Zimbabwe discute et conçoit les prochaines étapes parce que leurs pays sont à des stades cruciaux de décider comment procéder avec les programmes de performance liés à l’offre (Tanzanie et Malawi) et du côté de la demande (Zimbabwe). Les participants de Rwanda cherchent à revitaliser leur programme national de PBF tandis que l’Éthiopie et le Soudan du Sud cherchent encore la meilleure stratégie pour commencer des pilotes PBF.
Le pilote de Nigeria depuis 2011 a produit des résultats très encourageants, mais la question de l’élargissement est discuté par les sept participants. Gary Asperas de EPOS a travaillé sur la question, ce que les bureaux de l’étude peuvent faire dans le PBF. Il a identifié des études de faisabilité, l’assistance technique, renforcer les ACV et des activités de la contre-vérification. Les gouvernements et les bailleurs tels que la Banque Mondiale devraient mieux cerner les rôles clés des bureaux de l’étude afin que les situations gagnant-gagnant puissent être créées aussi dans le sens commercial.
Un autre participant au cours était Alfred Antoine Uzabakiliho, qui travaille dans plus de dix pays pour développer des applications Web pour les approches PBF. Il a fait une présentation impressionnante dans laquelle il a démontré comment le cloud computing fonctionne dans le PBF. La solution de cloud computing a une grande importance pour la transparence, la responsabilité, l’analyse comparative et la bonne gouvernance pour le gouvernement, les bailleurs de fonds et les ONG. Il facilite grandement le processus de facturation (calcul de paiement) et de reporting pour les projets PBF. En outre, il offre une visibilité et un suivi de l’ensemble du processus PBF ainsi que l’utilisation des fonds, qui est excellent pour l’engagement et la transparence.
L’équipe pédagogique est constituée de Godelieve, Claire et Robert